Comme à son habitude, Léon paresse au Café Baudelaire, dans un recoin tranquille où personne ne le dérange. Il apprécie le charme suranné des murs de briquettes un peu ébréchées sur lesquels de petits spots jettent des éclats rosés. Des ardoises proposent boissons et menus, des cadres noirs mettent en (...)