Les premières ondées d’un mois d’août jusque-là brûlant ont annoncé la fraîcheur bienvenue d’une rentrée vivifiante : la rentrée littéraire, bien sûr !
Côté Nouvelle Donne, notre Chien attaché au poteau électrique, publié par La chambre d’échos en juin, continue son chemin ; on peut le trouver ou le commander en librairie ainsi que sur le site de l’éditeur.
Nous avons reçu plusieurs avis enthousiastes de lecteurs et deux belles chroniques très détaillées, l’une de Dominique Baillon-Lalande dans Encres vagabondes
et l’autre de Géraldine Doutriaux dans la revue Rue Saint Ambroise.
On en parle également dans Est-Éclair et dans Luxembourg Féminin et bientôt dans La Voix du Nord.
Par ailleurs, le numéro 45 des éditions Rue Saint Ambroise vient juste de paraître, avec des nouvelles de vingt auteurs différents, et donnera lieu à une soirée de lancement le 1er octobre à 19 heures, sur la péniche Grande Fantaisie, quai de l’Oise à Paris. Des extraits seront lus par des comédiens professionnels et par des auteurs.
Parmi les auteurs déjà chroniqués par Nouvelle Donne, notons Mickaël Auffray et Marie-Christine Quentin.
Le 5 septembre, dans la librairie l’Autre livre, 13 rue de l’École Polytechnique, Paris 5e, aura lieu le lancement du numéro 18 de la revue de littérature L’Intranquille, avec une lecture de poètes colombiens et d’autres textes de forme courte.
Le salon de l’Autre livre se tiendra du 14 au 16 novembre 2020 à la Halle des Blancs Manteaux, Paris 4e. Vous pourrez y rencontrer des éditeurs indépendants, défendant la nouvelle.
Quant à notre équipe de Nouvelle Donne, elle reste plus active que jamais : dès le 15 de ce mois, elle vous proposera un « plein feu » sur Fabrice Schurmans, un auteur de grande qualité qui mérite le détour. Et bien sûr, elle a sélectionné dès maintenant vos meilleurs écrits : 4 nouveaux textes vous attendent en septembre-octobre :
Le saut de l’ange de Raymond Penblanc casse quelque peu les codes de la chute et du suspense, ce que l’auteur peut se permettre grâce à une écriture alliant le style à la profondeur. Pente côte vous entraînera dans un tourbillon de pensées solitaires que nous vous laissons savourer. Enfin, l’audace littéraire et la belle étrangeté d’On voit s’obstiner, chez le poète vieilli, une volonté d’éblouir de Hervé Gasser va vous surprendre et Comme à Ostende de Jean-Yves Robichon vous donner envie de voir la mer… à défaut de voir la mère.
Bonne lecture, et continuez à nous envoyer des textes de qualité, car… il y a du talent dans l’air !!!