Présentation de la quatrième de couverture :
Neuf nouvelles sur le thème des relations fraternelles, avec des sensibilités, des registres différents, des histoires qui puisent souvent dans la biographie revisitée des auteurs.
Amour, haine, quels que soient les sentiments qui nous lient à nos frères et sœurs, c’est pour la vie. Famille recomposée, explosée, différence d’âge entre enfants, sœurs choisies, destins différents..., chacun a une vision partiale du lien qui unit frères et sœurs, de la famille en somme.
Neuf nouvelles sur le thème des relations fraternelles, chaque auteur à sa façon : road movie américain pour Shaïne Cassim, ode à l’amour entre un frère et une sœur pour Jérôme Lambert, Véronique Le Normand raconte comment à 40 ans on est toujours le petit dernier de la famille et comment les étiquettes posées dans l’enfance nous collent à la peau... Famille recomposée, explosée, différence d’âge entre enfants, sœurs que l’on élit... vision partiale du lien qui unit frères et sœurs, de la famille en somme, avec des auteurs maison, d’autres que l’on accueille avec plaisir.
Des sensibilités, des registres différents, des histoires qui puisent souvent dans la biographie revisitée des auteurs.
Les auteurs : Shaïne Cassim, Jérôme Lambert, Véronique M. Le Normand, Pascale Maret, Frédérique Martin, Jean-Marc Mathis, Charlotte Moundlic, Mikaël Ollivier, Florence Thinard
« Toute chose a deux poignées : l’une permet de la porter, l’autre non. Si ton frère te fait du tort, ne prends pas cela en te disant qu’il te fait du tort (c’est le côté impossible à porter), dis-toi plutôt que c’est ton frère, ton compagnon, tu prendras ainsi la chose du côté où l’on peut la porter. » Cet extrait de « Ce qui dépend de nous » d’Épictète, philosophe stoïcien, m’est revenu en mémoire après la lecture des neuf nouvelles du recueil, où toutes les situations fraternelles sont étudiées.
Évidemment, telles que les détaille la quatrième de couverture, ces situations paraîtront convenues, cependant, grâce à une qualité d’écriture homogène, un style simple mais direct, il reste une empreinte.
À conseiller à des ados chamailleurs.
Une mention spéciale pour la nouvelle « Les doigts endormis » de Jean-Marc Mathis, dont la chute est très forte.