Il est tout à fait loisible de préférer les vrais Préludes de Debussy, dont l’auteur prétend être un admirateur et s’être inspiré. On ne voit pas trop à quel moment la comparaison est possible, ni dans le talent, ni dans l’intérêt. Textes creux, infantiles, voire infantilisants.
(Vingt-quatre préludes, Daniel Charneux, Éditions Luce Wilquin)